Little Barrie - King Of The Waves (2011)
BAND/ARTIST: Little Barrie
- Title: King Of The Waves
- Year Of Release: 2011
- Label: Bumpman Records
- Genre: Indie Rock, AlternativeRock, Blues Rock
- Quality: flac lossless (tracks)
- Total Time: 00:54:59
- Total Size: 362 mb
- WebSite: Album Preview
Tracklist
01. Surf Hell
02. How Come
03. Does The Halo Rust ?
04. Precious Pressure
05. King Of The Waves
06. Now We're Nowhere
07. Dream To Live
08. Tip It Over
09. I Can't Wait
10. New Diamond Love
11. Money In Paper
12. We Can't Work It Out
13. Twisted Little Blades
14. King Of The Waves - Fast Final Mix
Composé de Barrie Cadogan à la guitare et au chant, Lewis Wharton à la basse et Virgil Howe (fils de Steve Howe, guitariste de Yes) à la batterie, Little Barrie est déjà fort de deux albums d’un rock pugnace et volontairement anachronique. Le premier, We Are Little Barrie (2005), produit par Edwyn Collins himself, offrait une excellente introduction au rock sixties du groupe. Le deuxième, Stand Your Ground (2007), produit par Dan The Automator, plus condensé et plus pop, en révélait les possibilités. Vintage mais pas rétro, énergique mais pas surexcité, spontané mais pas brouillon. Voici le troisième opus du trio anglais, basé à Londres (forcément !) : King of the Waves. Les rois des vagues, ce sont des mélodies électriques et chaloupées, dont les courbes dessinent les affinités entre soul, funk et garage. Il ne faut pas se fier aux rythmes féroces de l’excellent premier morceau, « Surfin Hell ». L’ambiance peut davantage encore se réchauffer d’échos psychédéliques (« I Can’t Wait ») ou souls (« Precious Pressure »), et laisser parfois place à un romantisme insolent. Mais pas de baisse d’attention pour autant, avec le rock sixties et instantanément mémorable d’un « How Come » sous influence Kinks ou la basse féline de « Dream To Live ». Produit par le décidément fidèle Edwyn Collins, dont la voix se fait entendre sur le final cinglant de « Money in Paper », King of the Waves a plus d’un tour dans son sac. Tout en honorant la mémoire de ses aînés (des Stone Roses à Jimi Hendrix en passant par Prince), l’album réussit à twister et, encore mieux, bousculer son classicisme par une énergie qui doit beaucoup au chant et au jeu de guitare échevelant de Barrie Cadogan.
01. Surf Hell
02. How Come
03. Does The Halo Rust ?
04. Precious Pressure
05. King Of The Waves
06. Now We're Nowhere
07. Dream To Live
08. Tip It Over
09. I Can't Wait
10. New Diamond Love
11. Money In Paper
12. We Can't Work It Out
13. Twisted Little Blades
14. King Of The Waves - Fast Final Mix
Composé de Barrie Cadogan à la guitare et au chant, Lewis Wharton à la basse et Virgil Howe (fils de Steve Howe, guitariste de Yes) à la batterie, Little Barrie est déjà fort de deux albums d’un rock pugnace et volontairement anachronique. Le premier, We Are Little Barrie (2005), produit par Edwyn Collins himself, offrait une excellente introduction au rock sixties du groupe. Le deuxième, Stand Your Ground (2007), produit par Dan The Automator, plus condensé et plus pop, en révélait les possibilités. Vintage mais pas rétro, énergique mais pas surexcité, spontané mais pas brouillon. Voici le troisième opus du trio anglais, basé à Londres (forcément !) : King of the Waves. Les rois des vagues, ce sont des mélodies électriques et chaloupées, dont les courbes dessinent les affinités entre soul, funk et garage. Il ne faut pas se fier aux rythmes féroces de l’excellent premier morceau, « Surfin Hell ». L’ambiance peut davantage encore se réchauffer d’échos psychédéliques (« I Can’t Wait ») ou souls (« Precious Pressure »), et laisser parfois place à un romantisme insolent. Mais pas de baisse d’attention pour autant, avec le rock sixties et instantanément mémorable d’un « How Come » sous influence Kinks ou la basse féline de « Dream To Live ». Produit par le décidément fidèle Edwyn Collins, dont la voix se fait entendre sur le final cinglant de « Money in Paper », King of the Waves a plus d’un tour dans son sac. Tout en honorant la mémoire de ses aînés (des Stone Roses à Jimi Hendrix en passant par Prince), l’album réussit à twister et, encore mieux, bousculer son classicisme par une énergie qui doit beaucoup au chant et au jeu de guitare échevelant de Barrie Cadogan.
Blues | Rock | Alternative | Indie | FLAC / APE
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