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Joseph Moog, Deutsche Radio Philharmonie & Nicholas Milton - Brahms: Piano Concerto No. 2 - Strauss: Burleske (2017) [Hi-Res]

Joseph Moog, Deutsche Radio Philharmonie & Nicholas Milton - Brahms: Piano Concerto No. 2 - Strauss: Burleske (2017) [Hi-Res]
  • Title: Brahms: Piano Concerto No. 2 - Strauss: Burleske
  • Year Of Release: 2017
  • Label: PM Classics/Onyx
  • Genre: Classical
  • Quality: flac lossless / flac 24bits - 48.0kHz +Booklet
  • Total Time: 01:06:38
  • Total Size: 237 / 599 mb
  • WebSite:
Tracklist
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01. Piano Concerto No. 2 in B-Flat Major, Op. 83: I. Allegro non troppo
02. Piano Concerto No. 2 in B-Flat Major, Op. 83: II. Allegro appassionato
03. Piano Concerto No. 2 in B-Flat Major, Op. 83: III. Andante
04. Piano Concerto No. 2 in B-Flat Major, Op. 83: IV. Allegretto grazioso
05. Burleske for Piano and Orchestra in D Minor, TrV 145

Nommé « Young Artist of the Year » par le prestigieux Gramophone Classical Music Awards et par le International Classical Music Award en 2014 et 2015, le jeune pianiste allemand Joseph Moog (né en 1987) poursuit une magnifique carrière internationale dont le seul « point noir » serait sans doute la France où, le diable sait pourquoi, on ne l’entend guère, alors qu’il se produit à travers l’Europe et l’Amérique du Nord. Depuis 2007, il a déjà enregistré une dizaine d’albums unanimement salués par la critique et le public, couvrant des répertoires courus – Liszt, Rachmaninov, Tchaikovsky, Grieg – autant que rares – Moszkowski, Busoni, Friedmann, Godowsky, Joseph Jongen, Reger ou Scharwenka. Le présent album couvre les deux genres : le Deuxième Concerto de Brahms, enregistré jusqu’à plus soif par des centaines de pianistes, et la très rare et pourtant délicieuse Burlesque de Strauss, un petit chef-d’œuvre écrit dès 1886, mais créé seulement en 1890 (par Eugen d’Albert, excusez du peu), dans une version largement remaniée qui est la seule que l’on joue de nos jours. L’humour en musique ne se pratiquait plus guère en cette fin de XIXe siècle – alors que des Mozart et des Haydn en usaient avec délectation – et Strauss a su magistralement insuffler une dose de légèreté et de farce dans sa partition, avec des enchaînements harmoniques effarants, des allusions populaires et de la parodie. Et sans doute tenait-il sa partition en quelque estime puisqu’elle figurait au tout dernier concert qu’il dirigerait de sa vie en 1947.




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